Certains, comme la France ou l’Australie, continuent à pousser leurs citoyens à la vaccination, mais il est fort probable que les camionneurs canadiens qui ont roulé sur Ottawa, dans un convoi aux allures de révolution tranquille, les fassent changer d’avis.
Surtout que ce ne sont pas les récalcitrants à l’inoculation à répétition d’un vaccin, dont on dit maintenant que c’est également un médicament (!), qui n’empêche, cependant, ni la contamination, ni l’hospitalisation, sont légions dans les pays les plus insistants sur les injections successives de doses.
Il est peu probable que le premier ministre canadien, Justin Trudeau, survive politiquement à la révolte des camionneurs, largement soutenus par la population. Les Canadiens, réputés très respectueux de l’autorité, semblent eux-mêmes plutôt surpris par l’ampleur de leur mobilisation.
Surtout que ce ne sont pas les récalcitrants à l’inoculation à répétition d’un vaccin, dont on dit maintenant que c’est également un médicament (!), qui n’empêche, cependant, ni la contamination, ni l’hospitalisation, sont légions dans les pays les plus insistants sur les injections successives de doses.
Il est peu probable que le premier ministre canadien, Justin Trudeau, survive politiquement à la révolte des camionneurs, largement soutenus par la population. Les Canadiens, réputés très respectueux de l’autorité, semblent eux-mêmes plutôt surpris par l’ampleur de leur mobilisation.
Douce France…
Le même ras-le-bol est perceptible en France, même si les réseaux sociaux font tout pour occulter les voix de ceux improprement désignés par les médias mainstream d’« anti-vax », ou plus crûment les pestiférés des temps modernes.
C’est à peine s’il ne leur est pas demandé de porter des étoiles jaunes sur leurs vêtements et de ne pas marcher sur le même trottoir que les bons citoyens vaccinés.
L’incitation à la délation et la réapparition de « collabos » pourfendeurs des non-vaccinés montrent clairement que les vieux démons du fascisme n’ont pas disparus, ils étaient seulement tapis dans l’ombre.
Déjà peu populaire auprès de ses concitoyens, le président Emmanuel Macron, peine, malgré son langage volontairement outrancier, à cacher l’état déplorable dans lequel se trouvent les petits et moyens entrepreneurs français et la détresse des petites gens, écrasées par le renchérissement du coût de la vie.
C’est à peine s’il ne leur est pas demandé de porter des étoiles jaunes sur leurs vêtements et de ne pas marcher sur le même trottoir que les bons citoyens vaccinés.
L’incitation à la délation et la réapparition de « collabos » pourfendeurs des non-vaccinés montrent clairement que les vieux démons du fascisme n’ont pas disparus, ils étaient seulement tapis dans l’ombre.
Déjà peu populaire auprès de ses concitoyens, le président Emmanuel Macron, peine, malgré son langage volontairement outrancier, à cacher l’état déplorable dans lequel se trouvent les petits et moyens entrepreneurs français et la détresse des petites gens, écrasées par le renchérissement du coût de la vie.
L’effet boomerang
Une fois la terreur pandémique délogée du quotidien des gens, pour figurer parmi les pages les plus sombres de l’Histoire, tout ce qu’il va rester, ce sont des économies dévastées, des montagnes de dettes que l’on va léguer aux générations à venir et une « Science » à la crédibilité plus qu’émoussée, pour avoir accepté de se faire enrôler par la politique.
La prochaine claque sera celle de la revanche de la planche à billet. Le récit de l’argent qui serait devenu, comme par miracle, gratuit, ne pouvait durer que tant que le trou noir des marchés financiers pouvait avaler la monnaie de singe imprimée.
Sauf que l’inflation a fini par se rappeler au bon souvenir des apprentis sorciers des banques centrales. La réponse de la réalité est d’autant plus cinglante que les illusions géopolitiques des pays occidentaux leurs sont également revenues à la figure.
La prochaine claque sera celle de la revanche de la planche à billet. Le récit de l’argent qui serait devenu, comme par miracle, gratuit, ne pouvait durer que tant que le trou noir des marchés financiers pouvait avaler la monnaie de singe imprimée.
Sauf que l’inflation a fini par se rappeler au bon souvenir des apprentis sorciers des banques centrales. La réponse de la réalité est d’autant plus cinglante que les illusions géopolitiques des pays occidentaux leurs sont également revenues à la figure.
Effondrement trinitaire
A trop vouloir mettre une muselière à l’ours russe, tout ce que les pays européens ont récolté, c’est de se priver du gaz bon marché en provenance de l’Est et une explosion des prix de l’énergie qui fait trembler de froid les européens les plus pauvres, cet hiver.
Maintenant que la boîte de Pandore est en train d’être refermée, les propagateurs/profiteurs de la terreur pandémique, qu’ils ont fait régner sur le monde plus de deux années durant, ont bien des soucis à se faire.
Certains politiciens pourraient en espérer un confinement à l’ombre pour quelques années plutôt que d’affronter des foules appauvries et très en colère.
Au nom de la pandémie, de la vaccination et de la sainte planche à billet.
Amen !
Maintenant que la boîte de Pandore est en train d’être refermée, les propagateurs/profiteurs de la terreur pandémique, qu’ils ont fait régner sur le monde plus de deux années durant, ont bien des soucis à se faire.
Certains politiciens pourraient en espérer un confinement à l’ombre pour quelques années plutôt que d’affronter des foules appauvries et très en colère.
Au nom de la pandémie, de la vaccination et de la sainte planche à billet.
Amen !